Témoignage de Mr Louis-Michel Foucher, Président et de Mme Véronique Kessler, Responsable comptabilité fournisseur

“Plus les années ont passé et plus il était indispensable d'avoir un outil informatique,
et surtout un outil évolutif“

BENNES SERVICES

Spécialisée dans la collecte et le recyclage des déchets du BTP et des industriels en Seine-et-Marne, Bennes Services s’est donné les moyen d’assurer sa croissance. Les solutions informatiques de KERLOG mises en œuvre en 2006 ont modernisé la gestion et ont insufflé une nouvelle dynamique à l’entreprise.

“Notre objectif : Avoir un logiciel dédié à notre activité capable de gérer aussi bien le planning que la facturation de nos clients“

LA MISE EN OEUVRE

« En 2006, nous n’avions pas de logiciel pour gérer la prise de commande, le planning, et encore moins la facturation. Tout était fait manuellement à l’époque » , explique Louis-Michel Foucher. « On a commencé par les premiers modules, les modules de base que sont les mouvements de bennes, le planning de bennes et les retours de bons. Et aussitôt après on a géré la facturation, » ajoute le Président de Bennes Services. « Ce qui nous a séduit dans les solutions de KERLOG ? La facilité de création des plannings et surtout la possibilité d’intégrer ensuite la facturation. Par ailleurs nous avions eu de bons retours de la part de confrères déjà équipés des outils informatiques de KERLOG », précise Mr Foucher.

"EcoBennes, un outil dont on ne pourra plus se passer“

Bennes Services a commencé avec le module EcoBennes. Convaincu par ce premier module, l’entreprise a très vite décidé de poursuivre la dématérialisation de ses outils de gestion. « Il est vrai qu’on utilise de plus en plus de modules. Aujourd’hui nous nous servons d’EcoFACT, d’EcoGRC, d’EcoDéchets, d’EcoPOL et d’EcoRH qui sont très pratiques. Tous les plannings des chauffeurs passent directement par la badgeuse, les commerciaux réalisent les devis grâce à EcoGRC, les prix se mettent automatiquement dans la gestion des ventes, on va jusqu’à la facturation et on valide les règlements dans EcoBennes »,  explique Mme Kessler.

« Avant on avait un système de pesée qui nous obligeait à re-saisir toutes les pesées. Depuis qu’on a la badgeuse, c’est un gain de temps, on n’a pas besoin de re-saisir tous les poids. En plus, ça évite les erreurs », poursuit la responsable comptabilité fournisseurs. La modularité, l’aspect évolutif du logiciel, un argument essentiel pour Louis-Michel Foucher : « EcoREC répond parfaitement à ces attentes-là, parce qu’en termes de volume, on voit très bien qu’on a une marge de manœuvre importante avec ce logiciel. Et encore plus avec les modules qui peuvent venir se greffer autour et apporter une dématérialisation complémentaire. »

TOUTES LES DEMANDES SONT PRISES EN COMPTE

« Concernant l’évolution d’EcoREC, il y a aussi le support. C’est vrai que toutes les demandes sont prises en compte, donc là-dessus c’est bien. Il y a un suivi. Tous les logiciels ne sont pas évolutifs, celui-ci est très évolutif. » reconnaît Véronique Kessler, qui précise également : « On a fait évoluer KERLOG en même temps que nous : Plus on avait de clients, plus on avait de chiffre d’affaires, et plus on avait besoin de modules ».

"On a connu une croissance assez importante, qu'on aurait pas pu avoir sans EoREC“

Le chiffre d’affaires de Bennes Services n’a cesser de croître, même ces dernières années malgré la crise. Il est passé de 7,3 M€ et 2012 à 10,3 M€ en 2015. Le nombre de collaborateurs a aussi bien évolué : une quinzaine en 2006, 44 aujourd’hui. L’entreprise compte désormais 1043 bennes et compacteurs. « Une belle évolution. C’est vrai qu’heureusement qu’on avait KERLOG, parce qu’au point de vue administratif, on a pu gérer », explique Véronique Kessler.

La société Bennes Services a ainsi atteint les objectifs qu’elle s’était fixés lorsqu’elle s’est équipée d’EcoREC, voici 10 ans maintenant. « Je pense qu’on a même été au-delà, parce qu’on est passé sur des modules tels que la gestion du personnel, ou la badgeuse… Je n’y pensais même pas deux ou trois ans en arrière », précise le Président Mr Foucher, qui pense déjà aux prochains modules qu’il pourrait intégrer à son entreprise. « On n’utilise pas encore l’application mobile, mais on souhaite au moins l’essayer sur un ou deux véhicules, et le généraliser après à la flotte. Il n’y a pas vraiment de frein aujourd’hui », conclue-t-il.

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